Collection d'images illustrant les articles du site, par date de publication décroissante.
- Une manifestation calédonienne
[Visiter l'article]
- Document 9 : l’arrivée du gouverneur Sautot, 19 septembre 1940
- photo parue dans Les Nouvelles
Calédoniennes du 30 mai 2000
[Visiter l'article]
- Document 8 : le drapeau tricolore hissé sur l’hôtel de ville de Nouméa
- DALY Henri, Nouvelle-Calédonie, porte-avions américains dans les Mers du Sud, SEH n° 60, 2002
[Visiter l'article]
- Document 7 : les Broussards bloquent les points stratégiques de la ville de Nouméa.
- paru dans Les Nouvelles Calédoniennes (30 mai 2000)
[Visiter l'article]
- Document 6 : les Broussards défilent dans Nouméa, le 19 septembre 1940
- ALIBERT Pierre et BROU Bernard, Histoire du gaullisme en Nouvelle-Calédonie, Édition de l’atelier,
Nouméa, 1983.
[Visiter l'article]
- Ralliement
- La France australe, le mercredi 11 septembre 1940
[Visiter l'article]
- Henri SAUTOT
[Visiter l'article]
- Document 2 : les « cinq mousquetaires », le 14 juillet 1940.
- Le gouverneur Pélicier n’a pas organisé de cérémonie officielle pour le 14 juillet 1940. Ce sont donc cinq
Néo-Calédoniens Louis Boissery, Charles Chatelain, Jean Gadoffre, Roger Gervolino et Marcel Kollen que
l’on va rapidement appeler les « cinq mousquetaires » qui décident de faire un dépôt de gerbe au monument
aux morts de Nouméa. Des drapeaux français et anglais sont alors promenés dans les rues de Nouméa.
Marcel Kollen déclare alors : Nous voulons montrer notre désir de poursuivre la lutte aux côtés de la
Grande-Bretagne. Vive le général de Gaulle, chef suprême des armées françaises libres. Vive la Nouvelle-
Calédonie. Vive l’Angleterre.
[Visiter l'article]
- Document 1 : affiche de juin 1940
- Cette affiche fut placardée dans les rues de Londres quelques jours après l’appel du 18 juin. Elle reprend les
grands thèmes du discours du général de Gaulle : la dénonciation de l’armistice du 22 juin 1940 et le rôle du
maréchal Pétain, l’appel à la résistance « de tous les Français où qu’ils se trouvent », cette dernière
expression pouvant concerner plus directement les Néo-Calédoniens.
[Visiter l'article]
- Doc 15b- George Nepia
- Le rugbyman George Nepia marqua le sport néo-zélandais de l’entre-deux-guerres. Il fut le sportif le plus brillant de sa
génération et a démontré que les maoris pouvaient réussir aussi bien sinon mieux que les pakeha (les populations de
souche européenne). Le rugby, pour lequel les maoris ont de réelles dispositions, s’est révélé un excellent vecteur
d’intégration.
[Visiter l'article]
- Doc 15a- Apirana Ngata conduisant un haka en 1940
- Apirina Ngata (1874-1950) a été député, puis ministre des affaires maories de 1928 à 1934). Membre influent du Young
Maori Party, il a été un ardent défenseur de la culture maorie qu’il a largement contribué à promouvoir.
[Visiter l'article]
- Doc 14b- Rassemblement maori à Parihaka, en 1880
- Le village de Parihaka est situé au pied du mont Taranaki. Il a été fondé par un prophète maori, Te Whiti, en 1867. Il a
accueilli les populations maories victimes des confiscations de terres. La communauté de Parihaka s’est enfermée dans
une résistance passive à la colonisation et a tenu à conserver intactes ses traditions. Mais sans réelles ressources, elle a
vécu dans des conditions de vie précaires qui contrastent avec l’aisance de certains colons blancs.
[Visiter l'article]
- Doc 14a- Pique-nique en famille en 1890, dans la région de Wanganui
- Cette scène champêtre ne doit pas faire illusion. Si une partie de plus en plus importante des colons connaît une certaine
prospérité et s’attache à copier les traditions britanniques, beaucoup vivent encore chichement dans de petites masures
de défrichement, dans un grand dénuement.
[Visiter l'article]
- Document 13 : Auckland, Queen Street
- Cette vue de Queen Street, prise en 1922, présente une ville d’apparence tranquille. Peu de voitures, des trams et des
charrettes tirées par des chevaux. En fait, la ville est déjà le centre économique de la Nouvelle-Zélande et déborde
d’activité.
D’abord choisi par les Maoris pour son site exceptionnel constitué de très nombreux bras de mer qu’ils pouvaient
sillonner en pirogue et de collines sur lesquelles ils ont installé des pa, l’isthme d’Auckland fut ensuite occupé par
quelques colons avant que Hobson ne le choisisse pour fonder la nouvelle capitale de la Nouvelle-Zélande, en 1840, ce
qu’elle demeura jusqu’en 1865. La ville devint assez rapidement un port important et une place économique de premier
ordre pour le pays. Mais son véritable développement date d’après 1945.
[Visiter l'article]
- Doc 12b- Les maisons de l’État
- Il se construit 2 500 maisons par an de 1937 à 1949 et l’effort est poursuivi par la suite par le parti National. Au total,
les Travaillistes ont financé la construction de 30 000 « maisons de l’État » et favorisé par des prêts avantageux la
construction de 19 000 autres maisons individuelles
[Visiter l'article]
| ... | | | | | 480 | | | | | ... |
Navigation